Avec six pièces à son répertoire en trois ans, la compagnie a bien pris son envol. La nouvelle création, réalisée sous la direction d’Elisabeth Schilling pour les 10 ans du CND Luxembourg, va partir en tournée.
Avec six pièces à son répertoire en trois ans, la compagnie a bien pris son envol. La nouvelle création, réalisée sous la direction d’Elisabeth Schilling pour les 10 ans du CND Luxembourg, va partir en tournée.
L’ensemble blanContact fait entendre depuis 17 ans des voix marginalisées dans notre société car moins puissantes, moins rapides, en un mot moins efficaces. Elles nous offrent la chance d’explorer une face souffrante mais aussi lumineuse de notre humanité.
15 ans déjà que la grande dame de Wuppertal nous a quittés mais on a pu entendre son cœur battre sur la scène du Grand Théâtre de Luxembourg. Sa compagnie, désormais sous la direction du Français Boris Charmatz, y a dansé l’une des pièces iconiques de son répertoire.
La pièce Dans’Etre, du collectif K+A, est un surprenant fourre-tout qui mélange sans complexe les genres – théâtre, danse, vidéo, musique – et les styles – du baroque au hip hop. Une manière jubilatoire de jeter un regard critique sur notre monde contemporain, autour d’un écrivain un peu perdu de vue.
Durant deux semaines, danseurs professionnels et amateurs se sont retrouvés autour d’une programmation de danse contemporaine qui proposait des formations, des conférences et des spectacles parmi lesquels une nouvelle création de la Junior Company de la Confédération Nationale de la Danse (CND) Luxembourg.
Le jeune danseur était sur la scène du Staatenhaus pour une soirée qui aura marqué le grand retour du chorégraphe Marco Goecke, un an après le scandale qui a conduit à l’éviction de celui-ci du Ballet de Hanovre.
Love to Death est le second volet d’une programmation proposée cette saison par le Grand Théâtre de Luxembourg, le Mudam et la Philharmonie autour du travail de Lemi Ponifasio. Cet artiste originaire de l’île de Samoa pulvérise les cadres pour recomposer de nouvelles perspectives à la fois politiques, culturelles et spirituelles.
Quatre mains, un caméraman et un accessoiriste entraînent les spectateurs dans une épopée miniature orchestrée par la compagnie belge madebyhands.
Il y a des spectacles dont on ressort reboosté et la banane aux lèvres. Ce n’est pas si fréquent en danse contemporaine. Il faut dire qu’après plus de 40 ans de carrière, Philippe Decouflé n’a plus rien à prouver.
Sylvia Camarda entre au Conseil d’administration du Centre de création chorégraphique du Luxembourg mais, malgré le changement de logo et de statut, les perspectives de l’institution restent floues avec un périmètre réduit et des moyens financiers limités.