La pièce culte de la chorégraphe de Wuppertal s’est dévoilée sur les planches du Grand Théâtre de Luxembourg comme une œuvre teintée d’une certaine patine, mais aussi extrêmement actuelle.
La pièce culte de la chorégraphe de Wuppertal s’est dévoilée sur les planches du Grand Théâtre de Luxembourg comme une œuvre teintée d’une certaine patine, mais aussi extrêmement actuelle.
Les danseurs ont beau avoir l’habitude de faire le grand écart, l’exercice peut être plus compliqué qu’il n’y paraît. Après avoir signé le très beau solo !Maki ?! en 2018, Georges Maikel Pires Monteiro signe sa deuxième pièce, avec quatre danseuses sur scène pendant une heure. La première de My Cat is a Unicorn au Kinneksbond a souligné les difficultés d’aller au bout d’un tel exercice, non sans semer les graines de belles moissons à venir.
Si vous aimez sortir des sentiers battus, vous avez l’embarras du choix avant Noël. Pas moins de six créations sont à l’affiche sur la scène de la danse au Luxembourg ! Voici le programme.
Cap au Sud pour lever un coin du voile sur le nouveau projet de la chorégraphe, mais aussi découvrir une institution qui rapproche le Luxembourg de la Méditerranée.
La chorégraphe s’empare de l’œuvre culte pour en proposer une version à la fois fidèle à l’esprit de Ravel et très contemporaine. « I(CE) (S)Cream : Boléro Femme », est portée par Victoria Tvardovskaya, une danseuse russe qui ne craint pas les terrains glissants.
La famille des arts de la scène luxembourgeois s’est retrouvée au Théâtre des Capucins pour une première cérémonie officielle de remise de prix réunissant à la fois le théâtre et la danse. La soirée, chaleureuse et bien rythmée, a couronné Elisabeth Schilling pour la danse et Frank Feitler pour le théâtre. Les artistes ont profité de l’occasion pour passer quelques messages.
Cela faisait dix ans qu’elle en rêvait. Pour sa première pièce de groupe, qui réunit cinq danseurs, la chorégraphe Elisabeth Schilling nous entraîne au cœur des 18 études pour piano de György Ligeti, interprétées sur scène par Cathy Krier. Un défi musical ainsi que chorégraphique, et une réussite à tous points de vue.
Quatre ans après « BAL », le public du Théâtre d’Esch a pu découvrir « BAL : Pride and Disappointment », co-signée par Simone Mousset et Lewys Holt. Une performance pétillante et habilement subversive, à l’heure où l’on réfléchit au « monde d’après ».
Comment habiter collectivement notre monde ? Comment y trouver sa place individuellement ? Ces questions innervent le travail de la chorégraphe Jill Crovisier, qui ne cesse d’impressionner par sa pertinence et sa créativité.
C’est une affaire qui roule et cela fait dix ans que ça dure. Le Hip Hop Marathon, qui mobilise chaque année 150 participants entre 13 et 17 ans, vient de fêter – avec un an de retard – son dixième anniversaire. Malgré les contraintes sanitaires, les jeunes n’ont rien lâché. Avec un mot d’ordre : « Let’s celebrate ! »