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A l’agenda du mois de décembre 2018

28 novembre 2018
A l’agenda du mois de décembre 2018
"Via Kanana" de Grégory Maqoma -Katlehong Dance Company (photo: Christian Ganet)

Décembre va être l’un des temps forts de la saison de danse au Luxembourg avec à l’affiche Carolyn Carlson, Sasha Waltz ou Crystal Pite. Un tour du monde de la danse nous est proposé durant un mois qui promet d’être festif. Du Luxembourg – où les nouvelles créations de Jill Crovisier et Anne-Mareike Hess sont à l’affiche – à la Nouvelle Zélande en passant par l’Allemagne, la France, l’Afrique du Sud et le Canada, le dépaysement est garanti ! Voici le programme.

 

1 et 2 décembre  – L’exercice de remise au pas de Jill Crovisier

“Sieben” de Jill Crovisier (photo: Lynn Theisen)

Grand Théâtre de Luxembourg à 20h. Après sa création réussie au Trois C-L où elle a fait forte impression, la pièce SIEBEN de Jill Crovisier est présentée au Studio du Grand Théâtre. Les sept danseurs réunis sur scène nous entraînent au coeur d’une rencontre onirique où ils tentent de défendre leur individualité au sein d’un groupe, mais où s’exprime aussi leur difficulté à se passer de celui-ci.

Lisez notre portrait de Jill Crovisier.

Lisez notre critique de la première du spectacle SIEBEN.

Plus d’informations  en cliquant ici.

 

3 décembre – Réunion de famille au Trois CL
Banannefabrik de Luxembourg-Bonnevoie à 19h. Ce 3 du TROIS est placé sous le signe des rencontres artistiques. Après avoir bien bourlingué un peu partout en Europe, les visages connus de la scène luxembourgeoise sont de retour à la maison où ils présentent leurs nouvelles recherches.
Elisabeth Schilling questionne dans «TextureBody / BodyTexture» la relation entre danseur, spectateur et objet avec la complicité de la créatrice de costumes Mélanie Planchard.
Le duo Sandy Flinto et Pierrick Grobéty s’associe avec Stefano Spinelli  autour d’une recherche intitulée «Chats et Kalachnikov» mêlant danse, création sonore et mise en scène. 
Simone Mousset présente «Dance & Plays», issu d’une collaboration artistique avec la comédienne luxembourgeoise Larisa Faber.
Ce sera aussi l’occasion de découvrir l’exposition NOW du photographe Bohumil Kostohryz, précieux collaborateur de La Glaneuse puisque c’est lui qui fait les photos de la plupart des créations chorégraphiques luxembourgeoises.

Plus d’informations en cliquant ici.

 

4 décembre – Carolyn Carlson à Esch
Théâtre d’Esch-sur-Alzette à 20h. Les oeuvres de cette personnalité phare de la scène française sont rarement à l’affiche au Luxembourg. Aussi ne faut-il pas manquer Crossroads to Synchronicity, la reprise pour six danseurs d’une pièce que Carolyn Carlson a créée en 2012. Il y est question d’une horloge qui s’arrête lors de la mort d’un père aimé, d’une rencontre qui change une destinée, de retrouver une personne chère par un hasard qui semble inouï. Ces situations surviennent lors d’émotions intenses, de circonstances singulières, de tournants décisifs. Elles se produisent aussi entre deux êtres mus par une relation très étroite : soeurs, amants, mère et enfant.

Plus d’informations en cliquant ici.

 

6 décembre – Juan Kruz nous parle du temps qui passe et du temps suspendu
Grand Théâtre de Luxembourg à 20h. Avant la venue de Sasha Waltz le 12/12, on peut découvrir Still, une création de  Juan Kruz, qui a fait partie de sa compagnie durant 20 ans. La pièce a été imaginée en partenariat avec la dramaturge et metteuse en scène Isabelle Kranabetter. Still est une méditation sur le temps autour de Time stands still, un recueil de chansons de la Renaissance signées John Dowland (1563-1626): le temps qui passe et le temps suspendu, le vieillissement et la mort, la mémoire et la nostalgie, l’anticipation de ce qui va arriver, l’inexorabilité du perpetuum mobile temporel, la vulnérabilité humaine. Cette œuvre transcende les frontières traditionnelles entre les genres et oscille librement entre danse et récital.
Plus d’informations en cliquant ici.
7 et 8 décembre – La magie toujours intacte de Casse-Noisette
Kinneksbond de Mamer à 20h. Le Ballet de l’Opéra Théâtre de Metz arrive avec un “tube” au Luxembourg. Tiré d’un conte d’Hoffmann, mis en musique par Tchaïkovsky, Casse-Noisette est un joyau du répertoire classique qui nous replonge dans le monde onirique de l’enfance. La nuit venue, les jouets s’animent et vivent des vies secrètes teintées de diableries et d’amusements. La chorégraphie est signée Laurence Bolsigner.
Plus d’informations en cliquant ici.
7, 8 et 9 décembre – Anne-Mareike Hess se fait guerrière

“Warrior” de Anne-Mareike Hess (autoportrait)

Neimënster à Luxembourg à 20h. A travers son langage gestuel, la chorégraphe et danseuse luxembourgeoise Anne-Mareike Hess cherche à bousculer le spectateur pour lui faire ressentir les tensions en jeu dans notre corps sensible. Après Give me a reason to feel, où elle mettait en scène trois danseurs en quête d’émotions et de sensations, la chorégraphe se confronte personnellement à la question dans le solo intitulé Warrior. Entre amour et pouvoir, le corps dansant est pris dans un combat perpétuel avec ses émotions.

Plus d’informations en cliquant ici.
12 et 13 décembre – Le retour de Sasha Waltz

Grand Théâtre de Luxembourg à 20h. Les créations de Sasha Waltz sont toujours des événements. Plutôt que de s’asseoir sur son succès, la chorégraphe berlinoise ne lâche rien de son travail d’expérimentation et poursuit ses recherches transdisciplinaires. Pour Kreatur, qui a été reçu de manière contrastée lors de sa création en 2017 à Berlin, elle collabore avec la styliste néerlandaise Iris van Herpen et les musiciens du trio Soundwalk Collective, dans des lumières savamment étudiées d’Urs Schönebaum. Il y est question de puissance et d’impuissance, de domination et de faiblesse, de collectivité et de solitude, de liberté et de contrôle.

Plus d’informations en cliquant ici.

 

17 décembre – Soirée canadienne avec l’incontournable Crystal Pite

Grand Théâtre de Luxembourg à 20h. Le Ballet BC, dirigé par Emily Molnar, propose un triptyque contrasté confié à trois chorégraphes dont les oeuvres figurent à leur répertoire.  L’un des temps forts est Solo Echo de la chorégraphe canadienne Crystal Pite qui fascine toujours par son écriture chorégraphique à la fois pure, dynamique et créative. Écrite pour sept danseurs sur deux sonates pour violoncelle et piano de Brahms, la pièce explore la vitesse et les déploiements d’une personne dans la force de l’âge, le conflit dynamique dans un corps et entre des corps.  Beginning After, de l’Espagnol Cayetano Soto, est une interrogation sur la notion de vérité. Medhi Walerski, ancien danseur du Nederlands Dans Theater, invite dans PetiteCérémonie à la rencontre avec un groupe de personnes à la recherche d’un espace adéquat, d’un équilibre parfait.

“Solo Echo” de Crystal Pite (photo: Sharen Bradford)

Plus d’informations en cliquant ici.

 

18 décembre – L’alphabet sans dessus dessous
Théâtre d’Esch-sur-Alzette à 15h.  Lorsque les lettres et les mots commencent à mener une vie indépendante, certains d’une façon très énergique, d’autres plus tendrement, le monde bien ordonné de l’alphabet est bousculé. Dans A, B, C’est, créé par Ela Baumann, une danseuse (Marlene Wolfsberger) et une chanteuse (Marie-Christiane Nishimwe) découvrent un monde fou rempli de lettres et de mots qui sautent et dansent, qui résonnent et bourdonnent dans un mélange de différentes langues. De manière ludique et loufoque, en s’inspirant du mouvement dada, les artistes invitent leurs jeunes spectateurs – de 5 à 7 ans – à explorer l’alphabet.
Plus d’informations en cliquant ici.

“A B Zeh” de Ela Baumann (photo: Mario Melo Costa)

18 et 19 décembre – La danse des Townships comme acte de résistance

Grand Théâtre de Luxembourg à 20h. La compagnie Via Katlehong revient nous donner des nouvelles de l’Afrique du Sud. Avec elle, pas de discours complaisant. La danse est engagée, convoquant la tradition de la danse des Townships pour prendre position.  Pour Via Kanana, les huit danseurs, menés par Buru Mohlabane, ont fait appel au célèbre chorégraphe sud-africain Gregory Maqoma. Le rythme des percussions entraîne la troupe dans un grand ensemble où la musique créée par les corps en mouvement sert de support au récit et à l’évocation de la corruption qui ravage l’Afrique.

Plus d’informations en cliquant ici.

 

21 décembre -Du côté de la Nouvelle Zélande

Grand Théâtre de Luxembourg à 20h. Après l’Afrique du Sud, cap sur la Nouvelle Zélande. Pour la première fois, la New Zealand Dance Company fait escale avec huit danseurs au Luxembourg dans le cadre d’une tournée européenne. L’occasion de découvrir des pièces signées de l’Australienne Stephanie Lake, du Néo-zélandais Ross McCormack  et du Coréen KIM Jae Duk.

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