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La danse en février : focus sur la création

31 janvier 2020
La danse en février : focus sur la création
"Shoot the Cameraman" de Baptiste Hilbert (photo: David Bonnet/Pedro Barbosa)

Ce mois de février comblera les amateurs de découvertes. À l’affiche : les recherches de Valérie Reding et Jill Crovisier, les nouvelles créations de Baptiste Hilbert et Sarah Baltzinger, mais aussi un focus sur la danse contemporaine belge. La compagnie de Wim Vandekeybus est enfin à l’affiche au Grand Théâtre – mieux vaut tard de jamais – et, hasard du calendrier, l’étoile montante de la jeune scène belge est annoncée au Kinneksbond de Mamer. Entre création et transmission, voici un tour d’horizon des prochains spectacles.

 

3 février 2020 – Regard sur les nouvelles recherches de Valérie Reding et Jill Crovisier

À 19h00 à la Banannefabrik de Luxembourg- Bonnevoie. Il est toujours fascinant d’assister à la naissance d’une oeuvre. Eh bien c’est un coup double qui nous est proposé au prochain rendez-vous du 3 du Trois.

Valérie Reding revient à la Banannefabrik, où elle avait présenté au printemps 2018 son solo « Wild Child« . Esthétiques burlesque et queer font sa marque de fabrique. On verra cette fois une étape de recherche d’un nouveau projet intitulé « m.a.d » , autour des « corps déviants », avec quatre performeurs. Cette recherche est soutenue par la chorégraphe Simone Mousset. On est curieux de voir comment fonctionnera l’alchimie.

Cette présentation est accompagnée d’une exposition photo de sept portraits illustrant des figures archétypales féminines: Sorcière, Salope, Hystérique, Vieille, Gouine, Frigide et Furie. Les modèles ont été maquillés, habillés et photographiés par Valérie Reding.

Après une année faste en 2019 – Lëtzbuerger Danzpräis, sélection au Festival d’Avignon – Jill Crovisier poursuit dans sa belle dynamique. Elle va présenter des extraits de recherches pour sa nouvelle pièce intitulée JINJEON. Il y est question de la manière dont le progrès nous impacte physiquement mais aussi mentalement.

Plus d’informations en cliquant ici.

 

6 et 7 février 2020 – Wim Vandekeybus pour la première fois au Luxembourg

À 20h au Grand Théâtre de Luxembourg. On a du mal à y croire et pourtant, c’est la première fois que la compagnie Ultima Vez de Wim Vandekeybus se produit sur une scène au Luxembourg. Le chorégraphe belge, qui signe des pièces portées par une énergie brutale et instinctive, est depuis une trentaine d’années une figure tutélaire de la danse contemporaine européenne. On verra au Luxembourg l’une de ses dernières pièces, TrapTown, « une fable aux dimensions mythiques dans laquelle les tensions de la société actuelle sont palpables sans pour autant être nommées ».

Plus d’informations en cliquant ici.

 

8 février 2020 – Du côté de la jeune scène belge avec Jan Martens

À 20h au Kinneksbond de Mamer. Après avoir vu un pionnier de la danse contemporaine belge au Grand Théatre, on ne manquera pas d’aller à Mamer observer ce que nous propose la relève sur cette scène extrêmement créative. Jan Martens fait partie de ses étoiles montantes.  S’il se dit fan d’Anne Teresa de Keersmaeker, il veut proposer une  alternative à une danse parfois perçue comme trop conceptuelle et déconnectée du public. La soirée au Kinneksbond permettra de (re)voir sa pièce emblématique Sweat Baby Sweat (2011), un duo amoureux qui explore au ralenti la complexité et la richesse de la relation amoureuse. En deuxième partie, on découvrira son solo Ode to the Attempt (2014), une pièce pleine d’humour qui est une sorte de discours de sa méthode créative.

Plus d’informations en cliquant ici.

« Sweat Baby Sweat » de Jan Martens (photo: Klaartje Lambrechts)

27-28 février 2020 – Baptiste Hilbert brouille les pistes dans sa nouvelle création

À 20h au CAPE d’Ettelbrück. Pour sa première création d’envergure après un duo et un solo, Baptiste Hilbert n’a pas choisi la facilité. Shoot the cameraman met sur scène deux danseurs – Catarina Barbosa et Georges Maikel – et deux vidéastes – Pedro Barbosa et Catherine Dauphin –  qui interagissent en direct sur une composition musicale de Guillaume Jullien. Il s’agit d’interroger la manière dont nous regardons un spectacle, mais aussi le potentiel de manipulation à l’oeuvre. Cela en costume Belle Epoque ! La pièce a été présentée en avant-première à Annonay (F) en novembre 2019, à l’issue d’une résidence de création. La première luxembourgeoise a lieu au CAPE.

Plus d’informations en cliquant ici.

 

27-28 février 2020 – Sarah Baltzinger : une double dose d’énergie et d’émotions

À 20h au Kinneksbond de Mamer. Après Fury, une pièce explosive qui avait fait forte impression, Sarah Baltzinger a entamé un travail autour des questions de la transmission et de l’héritage. Le Kinneksbond propose au public de voir les deux premiers volets de cette trilogie qui explore la manière dont le passé pèse sur notre relation aux autres. On (re)verra le spectaculaire duo What does not belong to us (2018), présenté lors des Aerowaves à Neimenster, ainsi que sa toute nouvelle création, Don’t you see it coming (2020), un solo inspiré par le conte Barbe bleue de Charles Perrault   qu’elle irradie de sa magnifique présence scénique. Au y retrouve sur scène son fidèle partenaire musical, Guillaume Jullien.

Plus d’informations en cliquant ici.

À vos agendas et belles découvertes !

Marie-Laure Rolland

 

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